Ce matin en me reveillant, j’étais plein d’enthousiasme.
Motivé à passé une bonne journée !
Et puis, j’ai discuté quelques instants avec mon père. Des différents potentiels de chaque sportif face au sport dans lequel il est l’un des meilleurs au monde.
On a parlé de Mr Marc Marquez, De Dani Pedrosa ( pour les personnes qui connaissent un peu le MotoGP ).
Et puis, j’étais là à ramener ma science, en expliquant par AX + B que si ils en étaient là c’était certes en parti grâce au travail monstrueux qu’ils avaient abattu et les heures passées à travailler le physique, la technique etc..
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Mais aussi grâce à leur potentiel physique de base.
Puis j’ai pris mon exemple, je lui est dit « tu sais papa, moi j’ai des jambes assez massives je ne serais jamais un bon marathonien »
Et la, il m’a répondu « Tu sais, quelqu’un qui avait perdu ses bras a traversé la manche à la nage. Es-tu réellement sûr de ne pas pouvoir devenir Marathonien ? »
Et c’est à ce moment là que j’ai compris quelque chose. Ce matin en me réveillant, j’avais cessé de rêver.
Et tu as peut être le même problème que moi.
Le moment où tu cesses de rêver c’est le moment où tu te places comme une victime fasse aux événements.
Le moment où tu abandonnes ton projet pour de mauvaise raison.
Alors certes je ne compte pas devenir marathonien ! Du moins pas pour le moment.
Mais je me suis rendu compte qu’au travers des connaissances que j’accumulaient sur les différentes sciences de l’entraînement et sur la physiologie j’avais arrêté de rêver.
Que la chose en laquelle je croyais le plus s’envolait petit à petit.
Et lorsque j’avais cette introspection sur moi même, mon père a réencherie en me disant « tu sais il y a quelques temps tu nous bassinais à dire que tu étais mal dans ta peau mais que tu avais tout essayé et que tu n’étais peut être simplement pas fait pour perdre du poids !
Si jamais tu avais abandonné, penses-tu que tu en serais là aujourd’hui ? »
Et la c’est la phrase qu’il me fallait.
A force de vouloir apprendre de nouvelle connaissance.
A force de vouloir aider au maximum, je me suis créé des excuses.
En calisthenics, je n’arrive pas rester en L-sit plus de 10’secondes … C’est la faute à ma taille: d’après les études ….
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Non. Je n’y arrive pas ? Ok je vais m’entraîner plus dur que les autres pour y arriver.
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On ne part pas avec le même capital génétique C’est une certitude.
Mais ce n’est pas une raison pour abandonner tes rêves. Tes projets.
Si les personnes que tu admires aujourd’hui avaient abandonné au milieu de leurs chemins, peut être à l’endroit même où tu te trouves en difficultés, il n’aurait jamais atteint de pareils résultats.
Alors, aujourd’hui j’arrête.
J’arrête de trouver des excuses à chacun de mes problèmes aussi petits qu’il soient.
Aujourd’hui je vais continuer de travailler.
Continuer de me développer. Et atteindre mes objectifs.
Je n’abandonnerai pas.
Le secret de chaque réussite ne réside pas dans un capital génétique ou dans la chance.
Mais bien dans la persévérance, le travail, la discipline !
Alors oui, parfois c’est plus facile pour ton voisin que pour toi.
Et alors ?
Cela n’est pas une excuse !
Tu n’as pas le droit d’abandonner tes rêves.
Redeviens comme un enfant face à la difficulté.
Un enfant n’a pas peur, il ne connait pas les hiérarchies sociales, il a des rêves.
Si un enfant te dis « je veux devenir éboueur » ou « je veux devenir pilote d’avion » c’est pour deux raisons.
Premièrement, il s’en fiche de savoir si c’est mieux ou moins bien vu par les autres d’être éboueur ou pilote d’avion. Car lui ce qu’il voit c’est le jeu.
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Pour lui, le travail c’est un jeu.
Et savoir que l’un est moins bien vu que l’autre ? On s’en fiche, c’est un jeu.
Et quoi que tu lui dises.. il s’en fiche. Il rêve.
Alors que tu ai 20 ans, 50ans ou 32ans.
Arrête de te poser des questions. Tu peux avoir des rêves.
Tu peux atteindre tes rêves.
Tu n’as pas d’excuses !